jeudi 29 janvier 2009

"Quand il y a une grève en France, personne ne s'en rend compte" (Sarkozy)

«Alors qu’ils n’en sont en rien responsables, les salariés, demandeurs d’emploi et retraités, sont les premières victimes de cette crise. Elle menace l’avenir des jeunes, met à mal la cohésion sociale et les solidarités ; elle accroît les inégalités et les risques de précarité.» (déclaration commune des syndicats).

Un grand succès, une mobilisation qui restera dans les mémoires, à Montluçon comme dans toute la France, pour répondre aux insuffisances et aux provocations du pouvoir.
Le mouvement social est en marche, et il appartient aux partis politiques, et au Parti Socialiste en particulier, de lui donner un prolongement politique. Le contre plan de relance du PS, "agir vraiment contre la crise", est un premier pas dans cette direction.



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