dimanche 31 octobre 2010

Le dessin de l'Obs

samedi 30 octobre 2010

Chiffres du chômage : le gouvernement doit désormais admettre l’échec de sa politique

Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi continue d’augmenter. Pour le seul mois de septembre 2010, on dénombre une augmentation de +28.300 demandeurs d‘emploi (+4.600 pour la seule catégorie A).

Ces chiffres confirment que la politique menée par ce gouvernement est à bout de souffle et ne permet toujours pas de relancer l’emploi en France plus de deux ans après le début de la crise financière. Tous les discours récents sur une France faisant mieux que ses voisins, sur un gouvernement et un Président de la République à la hauteur des enjeux posés par la crise économique, sont pris en défaut.

L’exemple du chômage des plus de cinquante ans est édifiant. L’opposition n’a cessé de répéter, dans le cadre de la réforme des retraites, que l’allongement de la durée de l’âge légal n’était pas une solution au regard du nombre de Français de plus de 50 ans déjà au chômage. En septembre, le nombre de demandeurs d’emploi de plus de 50 ans augmente de 10700, soit une augmentation de 1,5% sur un mois (16,3% sur un an !). Le gouvernement en tirera-t-il les conclusions qui s’imposent ?

Le Parti socialiste propose une autre politique économique, celle dont la France a besoin, pour relancer l’économie et mener la bataille de l’emploi. Il est temps de changer et il est urgent que le gouvernement s’en rende compte.


mardi 26 octobre 2010

Des excuses

En raison de problèmes de connexion internet, ce blog ne sera pas alimenté pendant encore quelques jours.
A bientôt.

vendredi 22 octobre 2010

Nouvelle dégradation sur le front de l’emploi

Nouvelle hausse du chômage dans le bassin montluçonnais:
+ 3,5 % en août, sur un mois.

Evolution très défavorable chez les seniors avec 6 % de chômeurs en plus.

Les demandeurs d’emploi de plus de deux ans progressent également de près de 4 %.

Le nombre de reprises d’emploi repart également à la baisse.

De l'enfumage à la crise

"J'ai obtenu 22 millions d'euros de subventions du Ministère pour la construction du PT2".

Qui n'a pas entendu cette phrase récurrente de Daniel Duglery maintes fois répétée dans les médias locaux et lors des Conseils municipaux.

En fait, si cette vingtaine de millions d'euros a été évoquée dans les services ministériels, c'était non pas sous la forme d'une subvention mais uniquement sous la forme d'une autorisation à contracter un emprunt auprès d'un établissement financier.

Et voilà comment un manque de financement chronique, aggravé par une manipulation du Président du Conseil d'Administration de l'Hôpital, qui présente un droit à emprunter comme une subvention aboutit à un déficit structurel abyssal qui met en danger l'ensemble de l'établissement.

Sur tous les dossiers, le Maire de Montluçon est désormais rattrapé par la dure réalité.

Il est désormais l'homme du passif.

Pour un service public hospitalier de qualité

Propositions nationales et locales

Réunion - débat avec Jean MALLOT, Député de l'Allier

co-président de la mission d'évaluation et de contrôle de la sécurité sociale

Vendredi 22 Octobre à 18h Salle Germinal à DESERTINES

jeudi 21 octobre 2010

La citation du jour

« Je me méfie des hommes trop pressés et je me méfie de ceux qui utilisent les grands moyens pour de petites choses ».

François Mitterrand

mercredi 20 octobre 2010

Qui a dit ?

"Les rumeurs les plus fantaisistes circulent sur un supposé déficit del’hôpital.

Même si certains secteurs ont montré une baisse d’activité, la reprise est au rendez-vous. Rien d’inquiétant, cette tendance ponctuelle répondait à des facteurs conjoncturels tels que le départ en retraite de certains praticiens renommés.

Et de nombreux secteurs connaissent une augmentation de leur activité. Il convient donc de ne pas écouter ceux dont le métier est de propager de fausses nouvelles et de se réjouir du renouveau de notre Hôpital public".

Un indice, on a pu voir ces propos relatés dans "Montluçon Notre Ville".

Pour un service public hospitalier de qualité

Propositions nationales et locales

Réunion - débat avec Jean MALLOT, Député de l'Allier

co-président de la mission d'évaluation et de contrôle de la sécurité sociale

Vendredi 22 Octobre à 18h Salle Germinal à DESERTINES

mardi 19 octobre 2010

TOUS DANS LA RUE !

En refusant d'entendre l'immense majorité des Français qui rejettent sa réforme, en refusant de voir la plus forte mobilisation sociale de ces dernières années, par son attitude méprisante et arrogante vis-à-vis des syndicats, le Premier ministre, plus obtus et fermé que jamais, n’a su qu’opposer une fin de non recevoir aux Français.
Le Parti socialiste demande au Premier ministre de cesser ses mensonges sur la situation du pays et les comparaisons internationales, ses provocations et ses insultes tant vis-à-vis des syndicats que de l’opposition et d’accepter enfin de prendre ses responsabilités pour sortir le pays de la crise où le gouvernement l’a plongé.
Qualifier « d’escroquerie » la proposition de l'opposition de faire contribuer les revenus du capital aux retraites dénote de la part du Premier ministre d'un mépris profond pour la justice sociale et d’une drôle de conception du débat républicain. Et cela confine à la provocation quand, dans le même entretien, il envisage la quasi-suppression en juin 2011 de l'impôt de solidarité sur la fortune.
Le Parti Socialiste demande de nouveau au Président de la République de suspendre l'examen du texte au Sénat, d’accepter d’ouvrir le dialogue et d’engager une véritable négociation avec les syndicats sur l’avenir des retraites en France.
La seule attitude responsable aujourd’hui c’est le dialogue et non le déni de réalité inquiétant et la morgue dans lesquels s’enferme François Fillon.
Martine Aubry

lundi 18 octobre 2010

L’avenir de l’Hôpital Public concerne chacun d’entre nous!






















Pour un service public hospitalier de qualité

Propositions nationales et locales


Réunion - débat


avec Jean MALLOT, Député de l'Allier

co-président de la mission d'évaluation et de contrôle de la sécurité sociale


Vendredi 22 Octobre à 18h

Salle Germinal à DESERTINES


dimanche 17 octobre 2010

Les pauvres toujours plus exclus de l’accès à la santé

Contrairement à ce qu’avance le Président de la République, la grande pauvreté est là. Des dizaines de milliers de sans-abris ; près de 7 millions de mal-logés, 10 millions de pauvres, dont 1 million de personnes âgées. Telle est la situation d’une France inquiète et déçue dans laquelle 85% de la population redoute que ses enfants connaissent un jour la pauvreté.
Cette triste réalité est encore renforcée par la politique du gouvernement : 40% des Français ont récemment reporté ou renoncé à un soin pour des raisons financières. Les dépassements d’honoraires compromettent la santé publique. Les franchises médicales, dont l’inefficacité est démontrée, viennent accentuer ces difficultés. Les bénéficiaires de la Couverture maladie universelle (CMU), comme l’ont établi plusieurs études récentes, se heurtent à des obstacles croissants pour obtenir une consultation avec un médecin de ville.
Pauvres parmi les pauvres, les étrangers qui vivent dans notre pays doivent affronter, en plus de ces difficultés, la politique brutale de chasse aux immigrés menée par la droite. Médecins du Monde a annoncé dans son rapport annuel une hausse de 17% du nombre de consultations entre 2007 et 2009 et une aggravation générale de la situation sanitaire des patients, qui ne consultent un médecin qu’en tout dernier recours. La peur de se déplacer, la méconnaissance de leurs droits sans cesse grignotés entrainent un défaut de suivi, y compris des femmes enceintes et des mineurs. Que vont devenir ces populations déjà particulièrement fragilisées, après l’adoption par l’Assemblée nationale de l’amendement Mariani au projet de loi « Immigration », qui restreint encore davantage les conditions d’obtention d’un titre de séjour pour raisons de santé ?
Les socialistes dénoncent une politique qui laisse dériver les finances publiques et en rejette la faute sur les assurés sociaux.
Il nous paraît nécessaire de ne pas en rester à cette approche purement comptable. La réduction des inégalités face à la santé - et pas seulement à l’accès aux soins - sera l’un des pivots d’une politique publique de santé de gauche.

samedi 16 octobre 2010

TOUS DANS LA RUE !


Cet après-midi, on continue !
Rendez-vous à 15 H place Jean Dormoy.

vendredi 15 octobre 2010

Rencontres de l'Allier à Prémilhat

Plus de 120 personnes se sont retrouvées mardi 5 octobre, à Prémilhat, pour écouter et échanger avec les élus du Conseil général. Le président Dufrègne, les vice-présidents Pascal Perrin, Bernard Pozzoli (par ailleurs maire de Prémilhat) et Michel Tabutin ont répondu aux nombreuses interrogations du public.

Malgré la bonne humeur de l'assemblée, les prises de paroles et les interrogations ont laissé transparaître l'angoisse et parfois la colère face au délitement de nombreux services publics, comme la desserte ferroviaire, l'hôpital public, l'accueil des personnes âgées et handicapées.

L'un des moments particulièrement marquants de la soirée fut l'intervention d'une jeune maman de 35 ans, qui, curriculum vitae dans la main, a détaillé un parcours semé d'obstacles pour obtenir un emploi stable et durable. Comme il a l'habitude de le faire au cours de ces réunions publiques, le président Dufrègne s'est engagé à étudier sa situation dans les meilleurs délais. Cette intervention a permis à Pascal Perrin, vice-président chargé des questions d'insertion, de rappeler les nombreux dispositifs mis en place pour faciliter la reprise d'activité et retrouver un emploi durable.

Un autre temps fort de la soirée a été le témoignage plein d'humour mais aussi de conviction d'une mère de famille quotidiennement confrontée aux problèmes de dessertes du transport scolaire dans le secteur de Montluçon. En tant que vice-président chargé des transports scolaires, Bernard Pozzoli a immédiatement proposé une réunion pour trouver des solutions concrètes.

Entre cas particuliers et problématiques plus générales, cette soirée a été l'occasion d'un échange particulièrement riche. (compte-rendu paru sur le site du Conseil Général de l'Allier)

http://www.allier.fr/936-le-film.htm

jeudi 14 octobre 2010

Qui a dit ?

1/ " On ne réduira pas le chômage des jeunes en continuant à faire supporter au travail tout le poids du financement de la protection sociale."

2/ " Il y a aussi dans la société une violence qui vient du sentiment d'injustice. Il ne faut pas sous-estimer le désespoir d'une jeunesse condamnée à vivre moins bien que ses parents, dont les diplômes ne valent rien sur le marché du travail, qui est obligée de vivre chez ses parents parce qu'il n'y a pas d'emploi pour elle, dont les rêves se brisent sur le chômage et sur l'impossibilité d'acquérir une indépendance financière."

3/ "La faillite de l'éducation a mis en faillite notre système d'intégration. elle a affaibli le sentiment d'appartenance à la nation, fabriqué du chômage et de l'exclusion. Elle a privé toute une partie de la jeunesse des moyens d'exprimer ses sentiments, ses doutes, ses angoisses, de dominer ses pulsions, de canaliser ses émotions, ne lui laissant plus comme exécutoire que la violence ou le repli sur soi."

REPONSES

1/ Nicolas Sarkozy, Discours de Saint-Etienne - 9 novembre 2006

2/ Nicolas Sarkozy, Discours de Montpellier - 3 mai 2007

3/ Nicolas Sarkozy, Discours de Maison Alfort - 2 février 2007

mercredi 13 octobre 2010

Communiqué de Martine Aubry

Les mobilisations ont été massives. Le mouvement s'amplifie et s'élargit. C'est la plus grande vague de manifestations qu'ait connue notre pays depuis longtemps. Les Français de plus en plus nombreux, de toutes générations, disent clairement qu'ils ne veulent pas de cette réforme.

J'appelle le gouvernement à faire preuve de responsabilité. Son entêtement ne mène nulle part si ce n’est à des risques d’affrontement. On ne réforme pas les retraites contre les Français. Il faut faire une réforme, mais pas celle là. Notre pays n'admet pas les injustices. Le projet du gouvernement est symbolique de l’ensemble des injustices et inégalités qui caractérisent sa politique et que les Français jugent intolérables.

Notre pays ne veut pas non plus d'une réforme qui n’apporte pas les financements nécessaires et qui dès lors entraînera une baisse irrémédiable des pensions. Les socialistes ont montré par leurs propositions qu’il est possible de mener une réforme juste et efficace des retraites.

J’en appelle au Président de la République, garant de l'unité de notre pays et de la cohésion sociale. Je lui demande de retirer son projet, de recevoir les syndicats et les partis de gauche, afin d'engager enfin les négociations et la réforme qu’attendent les Français. »

Manif retraites

mardi 12 octobre 2010

Marie-Claude Leguillon dans ses murs

Sympathique inauguration de la permanence de notre amie Marie-Claude Leguillon, conseillère Régionale radicale de gauche, en présence de nombreuses personnalités dont René Souchon, président de Région, et de Gérard Charasse, vice-président du PRG.
Un local situé place Notre-Dame, financé sur son indemnité d'élue, où elle pourra recevoir le public et faire connaître l'action du Conseil Régional d'Auvergne, en particulier dans cette ville dont le premier magistrat a pris pour habitude de dénigrer systématiquement l'action de l'assemblée et régionale, oubliant que les élections sont passées depuis 6 mois et que son attitude revancharde, déjà ridicule en elle-même, est de nature à nuire à l'image de Montluçon.

lundi 11 octobre 2010

Immigration : un texte de plus, un texte de trop

À l’heure où les débats s’achèvent à l’Assemblée nationale, le Parti Socialiste réaffirme son opposition profonde au projet de loi sur l’immigration.

Avec ce texte, ce sont non seulement les droits des étrangers qui sont bafoués mais les valeurs de la République qui sont abimées. C’est un pas de plus dans la réduction de l’Etat de droit, dans l’extension de l’arbitraire et du pouvoir discrétionnaire. C’est totalement inacceptable.

Inacceptable car fondé sur un mensonge : celui de l’obligation de transposer des directives européennes, alors qu’il va bien au-delà.

Inacceptable car, alors que la France est sous le coup d’une procédure d’infraction européenne, le texte aggrave les atteintes à la liberté de circulation en Europe.

Inacceptable car il limite le contrôle du juge des libertés sur des décisions administratives trop souvent irrégulières.

Inacceptable car il allonge la durée de rétention ce que rien ne justifie et ce qui va à l’encontre des engagements pris par le gouvernement.

Inacceptable pour la création d’une peine de bannissement pour les étrangers, qui va séparer des familles.

Inacceptable en ce qu’il restreint le droit au séjour pour les étrangers malades, ce qui interdira à des personnes gravement malades de se faire soigner en France.

Inacceptable par ses atteintes au droit d’asile notamment par la création des zones d’attente mobiles.

Inacceptable parce qu’il couvre de suspicion les mariages mixtes et stigmatise le conjoint étranger.

Inacceptable encore dans ses nouvelles dispositions sur la déchéance de nationalité, qui vont aboutir à créer deux catégories de français.

Inacceptable enfin dans ses dispositions restrictives de droits pour les étrangers en France, qui en font des justiciables de seconde zone.

Le Parti Socialiste déposera un recours auprès du Conseil Constitutionnel pour faire invalider ce texte. Après la bataille menée par ses députés, le Parti Socialiste et ses sénateurs continueront de se battre contre un texte dangereux et symptomatique de l’échec et de l’aveuglement de la politique de ce gouvernement.

dimanche 10 octobre 2010

Annonces sur les retraites : une réforme toujours aussi injuste

Retraites : des annonces qui ne changent rien au caractère profondément injuste de la réforme

L’Elysée a annoncé le maintien temporaire à 65 ans de l’âge de départ sans décote pour les parents de trois enfants s’étant arrêté au moins une année après la naissance d’un de leurs enfants, ainsi que des parents d’enfants handicapés.

Ces aménagements, limités dans le temps, et obtenus grâce à la mobilisation des Français, ne changent rien au caractère profondément injuste pour les Français d’une réforme qui ne garantit pas la pérennité de notre système de retraite.

Le maintien à 65 ans de l’âge de départ sans décote est une exigence pour toutes celles et tous ceux qui ont connu des carrières chaotiques ou précaires, au premier rang desquelles figurent les femmes. Le maintien de cette borne d’âge à titre temporaire pour cinq ans ne concernera que quelques milliers de femmes sur cinq classes d’âges, sur les quelques 700 000 personnes qui partent à la retraite chaque année. Cela ne saurait faire oublier que l’immense majorité des femmes et des salariés précaires sont les premières victimes de la réforme annoncée. Des rustines temporaires sur des mesures injustes ne font pas une réforme juste.

Comme le 8 septembre dernier pendant le débat à l’Assemblée nationale, le gouvernement accepte des aménagements minimes sans pour autant accepter de remettre à plat son projet, comme le lui demandent les Français dans leur écrasante majorité.

Le Parti Socialiste appelle le gouvernement à écouter la colère et les attentes des Français au lieu de considérer qu’ils se trompent tous et à leur opposer mépris et indifférence. Il continue de demander le retrait de ce projet et une réforme juste et efficace.

Tous dans la rue mardi 12 Octobre !

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