"La poursuite et l'amplification de la politique menée depuis cinq ans ne serait pas un 'rêve' mais un cauchemar, a indiqué la Ligue des Droits de l'Homme (LDH).
Nous ne voulons pas d'une démocratie muselée qui, parce qu'elle laisserait sur le bord de la route des millions de personnes, attiserait le communautarisme, le racisme, l'antisémitisme et la xénophobie et ouvrirait la voie aux révoltes sociales".
L'association dénonce les "stigmatisations des populations fragilisées par les crises", les "agressions contre les organisations syndicales" ou encore le "refus obstiné de mettre en débat les choix d'austérité".
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